BEST PROMO: April 2019

Tuesday, April 30, 2019

Céant et Arnel se sont parlé au téléphone, révèle un rapport du Sénat


Dans un rapport d'enquête comportant 585 pages d’appels, ladite commission révèle que l’ancien Premier ministre a même reçu, lors d'une conversation téléphonique, une demande de financement de projet de la part de l’homme fort de Village de Dieu, très recherché par la police.

Le rapport indique également des coups de fil entre le policier Vladimir Jean Louis, affecté à la sécurité de l’ex-président Joseph Michel Martelly et Arnel Joseph. Dans son rapport, qui doit être présenté à l’assemblée sénatoriale, la commission recommande à la justice de se saisir de ce dossier.

La commission fait cette révélation un jour après que le sénateur Jean Renel Sénatus avait promis que ce 30 avril, la liste complète des personnalités politiques ayant eu, à l'instar de Garcia Delva, des échanges avec Arnel Joseph.

Naomi Osaka forcée de choisir une seule nationalité


La loi japonaise n'autorise pas un double passeport au-delà de 22 ans. Elle stipule clairement que ses citoyens doivent trancher avant leur vingt-deuxième année concernant leur nationalité. Naomi qui aura 22 ans accompli le 16 Octobre prochain doit faire un choix important.

Née à Japon d’une mère japonaise et d’un père haïtien, élevée aux Etats-Unis depuis son jeune âge (3 ans), la numéro un mondiale représente actuellement le Japon dans toutes ses compétitions officielles. Cependant si la championne nippone veut continuer à représenter sa terre natale, elle doit se débarrasser de son passeport américain, et ce avant le 16 octobre de cette année.

Naomi Osaka, vainqueur de deux tournois de grand chelem et vivant aux Etats-Unis depuis toute jeune, va-t-elle abandonner la nationalité japonaise avec laquelle elle a eu tant de succès ? Ou va-t-elle jouer pour l’oncle Sam qui l’a accueillie, formée et lui a permise de croire au « rêve américain » [American Dream] ?

La Japonaise d’origine haïtienne n’est pas la première athlète ayant eu à confronter un dilemme de ce genre. Le footballeur Diego Costa, né au Brésil, avait du prendre une décision similaire avant le début de la Coupe du monde 2014. Le joueur de l’Atlético Madrid devrait choisir entre la Selecao ou les couleurs des Espagnols. Bien qu’ayant déjà disputé des matchs amicaux avec la sélection brésilienne, le Colchonero avait choisi de défendre les couleurs de la Furia Roja.
La loi japonaise n'autorise pas un double passeport au-delà de 22 ans. Elle stipule clairement que ses citoyens doivent trancher avant leur vingt-deuxième année concernant leur nationalité. Naomi qui aura 22 ans accompli le 16 Octobre prochain doit faire un choix important. Née à Japon d’une mère japonaise et d’un père haïtien, élevée aux Etats-Unis depuis son jeune âge (3 ans), la numéro un mondiale représente actuellement le Japon dans toutes ses compétitions officielles. Cependant si la championne nippone veut continuer à représenter sa terre natale, elle doit se débarrasser de son passeport américain, et ce avant le 16 octobre de cette année. Naomi Osaka, vainqueur de deux tournois de grand chelem et vivant aux Etats-Unis depuis toute jeune, va-t-elle abandonner la nationalité japonaise avec laquelle elle a eu tant de succès ? Ou va-t-elle jouer pour l’oncle Sam qui l’a accueillie, formée et lui a permise de croire au « rêve américain » [American Dream] ? La Japonaise d’origine haïtienne n’est pas la première athlète ayant eu à confronter un dilemme de ce genre. Le footballeur Diego Costa, né au Brésil, avait du prendre une décision similaire avant le début de la Coupe du monde 2014. Le joueur de l’Atlético Madrid devrait choisir entre la Selecao ou les couleurs des Espagnols. Bien qu’ayant déjà disputé des matchs amicaux avec la sélection brésilienne, le Colchonero avait choisi de défendre les couleurs de la Furia Roja.

Monday, April 29, 2019

Haiti: un drone pour enfant crée la panique chez le chef de la police


C'était un véritable "spectacle" chez Michel Ange Gédéon, directeur général de la police nationale d'Haïti, le 10 avril dernier, selon ce que raconte l'ancien commissaire du gouvernement de Port-au-Prince, Claudy Gassant, intervenant à Pulsations Magazine, une semaine après l'incident. Au moins quatre véhicules de la Direction Centrale de Police Judiciaire (DCPJ), des membres du parquet de la capitale ainsi que des agents de la Mission des Nations-Unies pour la justice en Haïti (MINUJUSTH) ont débarqué à Vivy Mitchel, quartier résidentiel de Pétion-Ville, ce soir-là, pour une affaire qui selon Me. Gassant ne méritait pas toute cette attention.

A la base de cette soirée mouvementée au sein du domicile du numéro 1 de la police nationale, un drone (jouet) piloté par un enfant de 11 ans, qui a atterri dans la cour de l'une des maisons voisines: celle de Gédéon. "Le gardien de la maison du voisin s'est déplacé pour aller chercher le drone et on lui a dit de faire venir les parents", raconte Gassant. Revenu après le travail à huit heures du soir, le père de l'enfant s'est rendu chez Gédéon où il s'est vu arrêté, poursuit l'homme de droit qui a dû lui aussi se rendre sur les lieux en vue de faire libérer son "client". Ils ont tous deux été "séquestrés" jusqu'aux environs de minuit.

"Le DG de la police a ordonné qu'on ferme la barrière et que deux policiers sécurisent la sortie afin de nous empêcher de sortir", a-t-il confié à la journaliste Marie Lucie Bonhomme. A ce moment, "j'ai demandé au juge de paix de constater ma séquestration", a indiqué l'avocat. Pendant ce temps, ils (les hommes du DG de la PNH) faisaient des manoeuvres autour du drone, un peu pour voir si le petit gadget représentait un danger. Il a fallu, finalement, la présence de quelques membres de la MINUJUSTH pour confirmer qu'en effet, ce qu'ils avaient entre les mains n'étaient qu'un... jouet !

L'ex-commissaire du gouvernement a fait ses révélations alors qu'il commentait le climat d'insécurité qui s'installe un peu partout à travers le pays, notamment dans la capitale où des groupes armés dont ceux de T-Je, Bougòy, Arnel, Kris la entre autres, imposent leurs lois. Lors de son intervention, l'ancien parquetier s'est inscrit en faux contre les propos des au



Sénatus promet la liste des noms des autorités en contact avec Arnel


Le parlementaire a informé que les membres de la commission justice et sécurité du sénat de la République dont il préside se sont attelés durant le week-end dernier à identifier les propriétaires des numéros qui ont appelé le caïd. « Aujourd’hui nous devons nous rendre à l’évidence qu’il faut privilégier les intérêts supérieurs du pays dans nos actions », prône le sénateur Jean Renel Sénatus qui s’est engagé à faire son travail envers et contre tous.

Au cours de la période allant de 15 janvier au 1er mars 2019, les relevés téléphoniques du chef de gang ont totalisé plus de 400 pages, a indiqué le sénateur Ronald Larêche, membre de la commission justice et sécurité du grand corps. L’élu du Nord-est précise qu’Arnel Joseph a eu des conversations téléphoniques avec des dirigeants politiques, des hommes d’affaires, des journalistes et le sénateur Garcia Delva.

En ce qui est de l’annonce relative à la publication de la liste de ces personnes, le sénateur du Nord-est se dit favorable à une telle démarche. Cependant, il s’est montré moins catégorique contrairement à son collège Jean Renel Sénatus soulignant que cette décision revient à la commission.

Sunday, April 28, 2019

Traverser le Mexique, de plus en plus difficile pour les migrants


Assis le long d'une voie ferrée au sud du Mexique, à l'ombre de wagons arrêtés, les migrants d'Amérique centrale en route pour les Etats-Unis font le même constat: le durcissement des lois et le manque d'hospitalité des habitants rend la traversée du pays de plus en plus difficile.

A Arriaga, dans l'Etat du Chiapas (sud), le Hondurien Oscar Vialta et sa famille, ainsi que des dizaines d'autres migrants, tuent le temps en attendant le départ de la "Bestia", le train de marchandises qui traverse le pays et que beaucoup utilisent pour atteindre la frontière nord.

Nombre de migrants ont été mutilés ces dernières années par les roues du train en cherchant à monter à bord. Epuisés, ils s'endorment aussi parfois, et tombent sur les rails.

Agé de 42 ans, Oscar Vialta, son épouse et leurs deux enfants ont quitté le Honduras début avril. Depuis leur arrivée au Mexique, ils attendant un visa humanitaire que le gouvernement délivre désormais au compte-goutte.























"On leur demande un permis qui nous permette de travailler et d'aller de l'avant, mais dès que
nous sommes arrivés, ils ont commencé à nous mentir", dénonce à l'AFP Oscar Vialta
sans plus de précision.

Depuis plusieurs semaines, les autorités mexicaines proposent aux migrants qui entrent au Mexique
 un visa humanitaire d'un an limité aux seuls Etats du sud du pays, qui remplace peu à peu
 celui qui permettait jusqu'alors de circuler librement dans tout le pays.

S'ils progressent vers le nord, les migrants détenteurs de ce nouveau visa s'exposent désormais
 à une expulsion du territoire mexicain.

Reconnaissant une augmentation "inédite" du nombre de migrants centraméricains, ainsi que
des Cubains, des Africains et des Asiatiques, le Mexique, jusqu'ici très tolérant, entend limiter
 le flux de personnes traversant son pays.

"Nous ne voulons pas qu'ils aient le champ libre, non seulement pour des raisons juridiques
 mais aussi pour des raisons de sécurité", a affirmé mardi le président mexicain Andres Manuel
Lopez Obrador.

Malheureusement dans le nord nous avons eu des problèmes d'assassinats de migrants par le passé et
nous ne voulons pas de cela. La violence est plus grande au nord et nous préférons prendre en charge
cette population d'Amérique centrale dans le sud", a-t-il fait valoir.

La tension à la frontière sud du Mexique est montée d'un cran dans la nuit de jeudi à vendredi, lorsque
 quelque 1.300 migrants, la plupart de nationalité cubaine, se sont enfuis d'un centre de rétention après
 avoir menacé d'y mettre le feu, selon des témoins.

Environ 700 d'entre eux sont rapidement revenus, appréhendés par les services d'immigration (INM)
 et des patrouilles. D'une capacité de 900 personnes, ce site accueille actuellement environ 3.200
 migrants sans papiers.





















"On veut partir!" ou "on a faim!", scandaient vendredi des dizaines de migrants d'Amérique centrale
 pour protester contre leurs conditions d'hébergement dans cet endroit, a constaté l'AFP depuis
 l'extérieur.

José Vallecillo, 41 ans, son épouse et leur fille, ont attendu en vain durant près d'un mois
 le visa humanitaire. Ils espèrent monter sur la "Bestia" dès qu'elle passera.

"On est déçus car nous sommes des êtres humains et émigrer n'est pas un délit. On émigre
pour améliorer un peu nos conditions de vie", se justifie-t-il.

Autre problème de taille, selon certains migrants: le changement d'attitude des Mexicains.

Avant, "le gouvernement de chaque Etat nous mettait des bus à disposition, les communautés
nous soutenaient avec des vêtements, des chaussures et de la nourriture, il y en avait même trop",
explique Antonio Lopez, Nicaraguayen de 42 ans qui a pris part aux premières caravanes
 de migrants d'octobre. Là, il veut retenter ça chance.

"Maintenant, on ne voit plus ça, on n'a plus le soutien de la population, ni des policiers"
 dit-il en guettant l'arrivée du train.

Depuis octobre, des milliers de Centraméricains traversent le Mexique dans l'espoir de se rendre
 aux Etats-Unis, fuyant la pauvreté et la violence dans leur pays.

Le président américain Donald Trump considère que cette migration constitue une menace
pour la sécurité de son pays et fait pression sur le gouvernement mexicain pour qu'il interpelle
 ces migrants avant leur arrivée à la frontière américaine.


Thursday, April 25, 2019

Au moins 5 morts dans une fusillade à Carrefour-Feuille

Une attaque armée a fait au moins 5 morts et plusieurs blessés à Carrefour-Feuille, quartier de Port-au-Prince dans la soirée du mercredi 24 avril 2019. Selon des riverains de la zone, cette fusillade est l'oeuvre du groupe armé dirigé par le nommé "Ti Je".

La fusillade a été perpetrée précisement à l'impasse Eddy. "Des individus lourdement armés ont ouvert le feu et tué au moins 5 personnes", a rapporté un habitant sur place.

Ces riverains pointent du doigt la bande à "Ti Je", qui ne cesse de semer le trouble à Carrefour-Feuille et ses environs. " Les blessés sont nombreux", lit-on dans un tweet publié par le journaliste vedette de radio Scoop FM, Gary Pierre-Paul Charles.

Les citoyens de la zone sont sur le qui-vive. Ils lancent un SOS aux autorités policières.





Disparition d’au moins un container d’armes de guerre au port Lafiteau

Le parquet près le tribunal de Port-au-Prince a procédé, ce mardi 23 avril 2019, à l’arrestation de deux (2) employés de la douane de Port-au-Prince (Port Lafiteau), Nathan Séide et Alex Jérôme pour délit douanier.

Ces derniers sont accusés dans la falsification de seize (16) bordereaux et dans la disparition de trois (3) containers dont l’un d’entre eux transportait des armes de guerre et une importante quantité de munitions dans le pays.

Les deux (2) suspects ont été auditionnés, hier après-midi, par les responsables du parquet de la capitale.

L’un des responsables du port Lafito Yves Marie Carlile Charles est invité, ce mercredi au parquet en vue de s’expliquer sur cette affaire, a-t-on appris de source fiable.

Wednesday, April 24, 2019

Le message de Jimmy Carter à Donald Trump : « Savez-vous pourquoi la Chine est en train de nous dépasser ? »

Le week-end dernier, le président Trump a appelé l’ex-président Carter pour s’entretenir avec lui du problème chinois. Et voici les propos que Jimmy Carter tint en retour à Donald Trump :
« Vous craignez que la Chine nous passe devant, et je suis d’accord avec vous. Mais savez-vous pourquoi la Chine est en train de nous dépasser ?

J’ai normalisé les relations diplomatiques avec Pékin en 1979. Depuis cette date, savez-vous combien de fois la Chine a été en guerre avec qui que ce soit ? Pas une seule fois. Et nous, nous sommes constamment restés en guerre.

Les États-Unis sont la nation la plus belliqueuse de l’histoire du monde, parce qu’ils désirent imposer des valeurs américaines aux autres pays. La Chine, elle, investit ses ressources dans des projets tels que les chemins de fer à grande vitesse au lieu de les consacrer aux dépenses militaires.

Combien de kilomètres de chemin de fer à grande vitesse avons-nous dans ce pays ? Nous avons gaspillé 3 000 milliards de dollars en dépenses militaires. La Chine n’a pas gaspillé un centime pour la guerre, et c’est pourquoi elle est en avance sur nous dans presque tous les domaines.

Et si on avait pris 3 000 milliards pour les mettre dans les infrastructures américaines, nous aurions un chemin de fer à grande vitesse. Nous aurions des ponts qui ne s’effondrent pas. Nous aurions des routes qui seraient maintenues correctement. Notre système éducatif serait aussi bon que celui de la Corée du Sud ou de Hong Kong. »

Source : WABE (traduction : Bruno Guigne)

Thursday, April 11, 2019

Roody Roodboy, braqué à Delmas, confie avoir frôlé la mort


Le jeune rappeur Roody Roodboy, braqué mardi 9 avril par des individus armés au niveau de Delmas 19, confie avoir frôlé la mort. Sorti d’une succursale de la Sogebank, celle située sur la route de l’aéroport, à côté de Caribe Motors, l’artiste, contacté par téléphone, confie : « J’arrivais chez moi au moment où DJ Roger venait aussi à ma rencontre. C’est alors que nous avons vu trois hommes arriver. Ils ont pointé leur arme automatique sur nous et m’ont, en particulier, exigé exactement la somme que je venais de retirer de mon compte. Plus que 200, 000 gourdes », selon ses explications fournies à Loop Haïti ce jeudi 11 avril.

« Ils ont emporté mon téléphone, mon portefeuille ainsi que ceux de ma femme et de DJ Roger. J’ai retracé le téléphone et il m’a conduit à Delmas 2, non loin de la Direction de la Circulation et de la Police Routière », raconte-t-il. Il a pu récupérer le portefeuille de sa femme et celui de Roger. Mais il n’a pas trouvé le sien ainsi que son portable.

Sur son compte Twitter, il a souligné ce jeudi 11 avril, soit deux jours après l’incident, que « les rues n’ont pas de VIP, personne n’est épargnée. Grâce à Dieu, je suis encore en vie. C’est le plus important ».

https://twitter.com/roodyroodboy/status/1116390155282276352?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1116390155282276352&ref_url=http%3A%2F%2Fwww.loophaiti.com%2Fcontent%2Froody-roodboy-braque-delmas-confie-avoir-frole-la-mort



Les Haïtiens n'ont plus besoin de visa pour voyager dans la CARICOM

C'est officiel! Les ressortissants haïtiens n'auront plus besoin d'un visa pour se rendre dans les pays membres de la communau...